Conclusion : - - Nous avons pu constater que les
Conclusion :
-
-
Nous avons pu constater que les nombreux moyens de prévision étaient plus ou moins fiables. Plus les années passent, plus les moyens se multiplient mais le moyen le plus sûr reste le sismographe (ou sismogramme), bien que de nombreuses autres méthodes tels que la méthode Van, la géodésie spatiale et le Gps soient des bases à expérimenter encore et encore, comme elles sont assez controversées, on les utilise moins souvent. Les scientifiques utilisent de plus en plus souvent ce qui les entoure pour essayer de prévoir les séismes, le comportement des animaux est étudié ainsi que les flashs lumineux ou la concentration en radon de l'eau souterraine. Certains sont même certains que le seul moyen de prédire un jour les séismes sans se tromper réside dans l'analyse du comportement de l'environnement avant que le séisme ne se déclenche.
-
-
-
-
Les Etats ont dû mettre en place de nombreux moyens pour protéger la population lorsqu'un séisme éclate. Ils sont de plus en plus nombreux à distribuer des protocole de protection, c'est à dire la marche à suivre, avant, pendant et après le séisme. Dans les zones dites à risque, les exercices de simulation sont de plus en plus fréquents, on initie les écoliers aux mouvements appropriés lors d'une secousse. A long terme, les constructions aux normes parasismiques sont les plus efficaces mais aussi les plus coûteuses, elles permettent de construire des logements qui résistent aux séismes même d'une magnitude élevée. Les entreprises de constructions utilisent des matériaux plus fléxible, comme le caoutchouc, ils creusent des fondations plus en profondeur pour que lors d'un séisme, les fondations suivent les mouvements du sol et que le bâtiment ne soit pas détruit. L'exemple parfait du bâtiment parasismique est la "Transamerica Pyramid" à San francisco aux Etats-Unis.
-
-
-
-